Couché à 00 h 30 après une soirée remplie d'émotions fortes, dont le retour a été marqué d'un événement meurtrier, je me suis levé à 04 h 00 pour aller travailler.
13 h 00 de retour à la maison, un p'tit café avec ma tribu et hop direction le jardin.
J'ai préparé une plate-bande devant le porche pour ma douce. Elle a fait valoir son droit au monopole sur cette parcelle, alors soit, je me suis dit qu'il fallait quand même lui laisser un sol agréable à travailler.
Après un bon désherbage, j'ai retourné ce sol tassé par les années de piétinements et pour finir j'ai enrichi avec du terreau La kota.
Voilà un bon début.
snif snif sniiiiiiif!
La Kota s'éveille!
Le fortitia ressemble à un gros soleil qui s'est fait une halte au milieu du jardin.
Le Mahonia commence à sentir bon le miel.
J'ai fait une tonte pour pouvoir faire mon premier coffrage de culture en lasagne.
il y en aura 2 cette année.
Il y a un nouveau trône à La Kota. J'ai abattu un thuya hier pour donner de la place aux châtaigniers, mais plutôt que de couper la souche à ras du sol, j'ai préféré façonner un nouveau siège pour les enfants. En voilà 2 qui ont trouvé leurs places sous le regard de pépère qui préfère le confort du rocking-chair.
Une partie du tronc fait maintenant un joli banc rustique pour se poser au jardin nourricier.
Un autre morceau servira de banc dans le tipi.
Bon! pour finir, je vais vous raconter l'épisode meurtrier de la nuit dernière.
Pendant le concert, Asaf nous a parlé du fait que l'être humain vit avec la certitude qu'il va mourir; la mort fait partie de notre conscience depuis l'enfance ou l'adolescence (c'est suivant) jusqu'à ce qu'elle vienne nous faucher. Mais, le chat...
...le chat lui, ne sait pas qu'il va mourir.
jusqu'à ce que la mort le frappe, il n'a pas la conscience que la mort le guette.
Et Asaf est parti dans un délire psychique sur ce sujet, mais surtout sur le chat...qui ne sait toujours pas qu'il va être fauché par une voiture.
Et PAF le chat!
Et chemin rentrant, une chouette nous est passé très près de la voiture, pfiou elle ne sait pas qu'elle aurai pu mourir celle là.
5 à 10 minutes plus tard un chat a surgit devant les phares de la voiture lancée à 130 km/h;
les yeux du chat telles 2 billes dorées nous fixent, nos cœurs s'arrêtent de battre mais la voiture continue.
Et le chat s'est dit:
"putain je vais mourir!"
il a fait un volte-face et est parti en courant.
Pas de PAF, ni le dongdong du corps fracassé par les roues.
ouf!
Et nous voilà parti à rigoler en repensant au monologue d'Asaf.
C'est alors, que presque arrivé à destination...
AAAH! (cri de femmes)
PAF!
DONGDONG!
??
un blaireau est passé sous les roues de la voiture.
Un silence et le fou rire est monté.
Cette pauvre bête est morte sans le savoir et nous, nous étions horriblement pris d'un fou rire morbide en repensant à Asaf Avidan qui nous a suivi toute la route.
Loreleï la meurtrière a tué cette pauvre bête, je suis sûr qu'au fond d'elle une voix disait:
"j't'aurai Blaireau, je t'aurai!"
3 commentaires:
le hasard n'existe pas
c'est pas pour rien que asaf ta parler de sa !
Je n'aurai pas mieux raconter cette épisode ...il manque juste le vrai bruit horrible...cela nous aura fait méditer en tout cas..( et rire aussi ...) ;-)
Des péripéties dignes d'une bande dessinée ...paf le blaireau
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